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Psycho, Sexo
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« Mais de quoi peuvent-elles bien parler tout le temps ces gonzesses ? », « en gloussant en plus… ». On pardonnera la forme agacée de cette interrogation dictée, on s’en doute, par votre frustration de ne pouvoir aisément vous transformer en rat pour espionner les souris. Mais parce que chez Daddy Coool la générosité est une seconde nature, vous allez avoir droit, en plus de tous nos bons plans, à un accès VIP à leur balcon secret, leur dark side of the moon, bref leurs petites cachotteries et constater que, dans 80% des cas, la réponse à votre question « de quoi parlent elles ? » est : de VOUS, bien sûr, Messieurs ! Alors, prêts à aller faire un tour sous les jupes des filles ? Chaussez vos lunettes, et inutile de guetter le coup de vent favorable…       Prune : Les filles, je sais pas ce qui m’arrive en ce moment : je trippe sur les pères qui font les sorties d’école … C’est terrible : dès que j’en vois un, un peu accroché à sa progéniture, j’ai des pulsions… Laurence : Tu plaisantes ? Toi, qui flashes sur le tatoué, le mécano savonné à l’huile de vidange… C’est quoi cette blague ? Prune : « Tatoué » et « père », ça peut faire très bon ménage… Regarde Yannick Noah ! Laurence : Noah n’a pas attendu d’être père pour devenir sexy… Prune : Arrête ! Aucune de nous n’a… envisagé sexuellement Yannick… quand il était tennisman ! Il a commencé à nous faire monter… au filet… plus tard ! J’ai pas les dates, mais je serais pas surprise que ce soit APRÈS l’arrivée du petit basketteur ! Laurence : Prune, c’est surtout que, quand Noah était tennisman, on n’avait pas l’âge de se turlupiner… Rien à voir avec le fait qu’il soit papa… ou pas papa. Nath’ : Moi, je trouve ça tout à fait normal : tu te rapproches de la quarantaine, ton corps réclame un géniteur… Et quel meilleur prétendant qu’un mâle veillant sur sa portée. C’est le signal Prune : tu es prête pour un petit deuxième ! Prune : Tu sais, j’imagine plus la culbute torride à l’arrière de l’Espace que le Maxy Cosy… Non, je trouve qu’il se dégage d’eux un truc insaisissable… un mélange de… Béa : De bavures « de chocolat du petit déj » et de « dentifrice écrabouillé » ? Nath’ : Ou de « j’ai pas le temps ! » et de « je suis épuisé ! » ? Prune : Pas du tout !!! D’extrême force couplée à une profonde tendresse… Franchement, les filles, pour fréquenter l’autre branche masculine, celle centrée sur ses abdos et son nombril, je crois que vous ne vous rendez pas compte de l’altruisme débordant des papas… Et ça, c’est terriblement érotique ! Béa : Bullshit Honey Rider ! C’est sociétal : après les MILF, les DILF : bien compliqué à prononcer … Faudrait trouver une terminologie plus simple, je sais pas moi, les Pap’ouhlala ! Nath’ : Ou les PPML : « Papa, Prends Moi Là » ! Béa : Les pères, des icônes sexuelles ? après les Métrosexuels, les Padrésexuels ? Laurence : À ne pas confondre avec les « Pas très sexuels » ! Nath’ : Sans aller jusqu’à l’icône sexuelle… Mais, mon Fred… c’est vrai que depuis qu’il est père de nos 3 chatons, il est devenu très… matou… Limite tigre, tu vois… Béa : Perso Prune, je préférais ta période Bad Boy : ça alimentait mes fantasmes … Là, forcément, j’ai déjà « Papa à la maison » … Mais c’est intéressant, je vais reconsidérer mon Jules, comme …. une sorte de Brad Pitt : prêt à tout casser pour sauver sa famille de l’apocalypse … Prune : Reconsidérez les filles, reconsidérez … Et pendant ce temps-là, moi, je revois mes techniques d’approches : je me suis inscrite au stand « Lapin Scratch » de la kermesse de l’école de Julie !   Daddy Coool by Claire D. ... Lire la suite
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Ancien interne des hôpitaux de Paris et ex-collaborateur du Professeur Marcel Rufo, Michael Larrar est pédopsychiatre et papa de deux enfants.         Daddy Coool : Quel rôle doit-on adopter en tant que papa face à la sexualité de ses enfants ? Michael Larrar : Un parent du même sexe serait le mieux placé des deux parents pour parler sexualité à l’enfant et à l’adolescent. Pour autant, les parents restent souvent les personnes les plus mal placées, dans la tête de l’adolescent, pour discuter de cela. C’est une mission qui est de toute façon compliquée. Si le papa est mal à l’aise ou si l’adolescent est trop gêné par cette conversation, cela peut être un oncle ou un grand-cousin , quelqu'un de confiance qui délivrera le message mais qui n’est pas aussi impliqué affectivement avec le jeune.   DC : Quelle est la bonne distance à adopter ? ML : La distance est importante car les adolescents se sentent très vite intrusés par leurs parents. Ils ont l’impression que l’on empiète sur leur espace et que l’on veut trop en savoir. Ils sont mal à l’aise avec l’idée de la sexualité de leurs parents, même s’ils n’en ont pas conscience. C’est pour cela qu’ils ont des difficultés à parler de sexe avec leur papa : « car si mon père parle de sexe, c’est qu’il fait du sexe – et en plus il le fait avec ma mère, ce qui est insupportable ». L’ado préfère croire à l’immaculée conception, il sait mais ne veut pas savoir. En terme de distance, il ne faut donc pas se citer en exemple de sexualité. Si l’on veut partager des expériences, on peut parler des difficultés, des râteaux, des gènes… En somme, pas de sexualité mais du vécu relationnel et de l’amour propre.   DC : À quel âge faut-il parler de contraception ? ML : Ce n’est pas une question d’âge, mais d'âge mental et de maturité de son enfant. S’il a des petits amis, s’il se virilise ou se féminise, si l’on commence à percevoir des histoires d’amour, des flirts, etc… il faut leur en parler directement. Sinon, il faut le faire avec un caractère préventif, à table et de manière conviviale, autour de sujets divers. DC : À quel point faut-il les informer ? ML : La problématique n’est pas là où on la croit. Les jeunes sont très informés, les papas ne doivent pas se demander s’ils connaissent le préservatif ou la pilule du lendemain. Le problème vient du manque de confiance en soi : la gène pour sortir le préservatif, pour l’imposer à l’autre… Bien qu’ils fassent semblant que non, les ados sont très mal à l’aise avec la sexualité. Quand on est très gêné, on peut rapidement oublier la contraception, ou se laisser faire par le moins gêné des deux.   DC : Comment faire face aux images pornographiques ? ML : Encore une fois, le devoir des parents est de maintenir une certaine distance. Le rôle de filtre que cette conversation pourrait avoir est assez faible, et on prend plus de risques à être dans une proximité dérangeante qu’autre chose. Tous les ados vont voir des images pornographiques, certes. Pour autant, depuis que je suis en consultation, j’ai été témoin de l’explosion d’internet et du porno : les jeunes ont un rapport à l’amour et à la sexualité assez identique. Les fantasmes peuvent être différents, mais au moment d’acter avec son(sa) petit(e) ami(e), on retrouve les mêmes questions et les mêmes angoisses qu’il y a dix ans. DC : Quel est le discours à tenir ? ML : C’est pour les plus fragiles qu’il faut faire attention, comme la jeune fille mal dans sa peau qui va accepter des choses, pensant qu'ainsi elle plaira ou qui ne va pas oser demander un préservatif. À nouveau, c’est davantage la gène, le doute et la perte de confiance en soi des jeunes gens qui crée le problème – bien plus que l’ignorance. C’est un leurre de penser que c’est le manque d’information sexuelle qui crée les problématiques. En effet, c’est la peur de ne pas être à la hauteur, garçon comme fille, qui fait qu’ils ont parfois des comportements à risque. Et c’est sur cette perte de confiance qu’il faut les informer. Là, un papa peut expliquer à ses enfants qu’il a eu les mêmes doutes et les mêmes blessures, mais qu’il en a survécu. J’explique souvent lors de mes consultations : « quelqu'un de fort, ce n’est pas quelqu'un qui ne tombe pas. C’est quelqu'un qui tombe et qui se relève ».   DC : Que dire à ses enfants au sujet de la masturbation ? ML : Il faut maintenir une distance maximale. La masturbation est quasi unanime, et taboue depuis toujours. Il faut laisser l’adolescent en parler avec ses amis. Il entend des choses suffisamment déculpabilisantes à la radio ou la télévision. En parler avec ses parents, c’est bien trop gênant. DC : Faut-il parler d’orientation sexuelle ? ML : L’orientation sexuelle est puissamment déterminée dans le psychisme. Dès lors, une discussion, quelle qu’elle soit, ne changera pas la donne. Il n’y a aucune raison d’en parler avec les plus jeunes enfants :pour eux, la vie se fait avec des princes et des princesses, et l’hétérosexualité reste la norme. En réalité, la question se pose lorsque son fils ou sa fille pose la question. Un enfant a sa temporalité psychique et il faut la respecter. Celui qui pose une question est prêt à entendre la réponse ; celui qui ne pose pas de question, c’est soit que ca ne l’intéresse pas, soit qu’il n’est pas prêt à entendre la réponse. S’il pose une question sur le mariage homosexuel, il faut expliquer les faits et précisant que cela reste rare. Encore une fois, le plus important est de respecter la temporalité des enfants. On ne fait pas de prévention psychique – on répond aux questions que l’enfant peut se poser, et nous poser. ... Lire la suite
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« Mais de quoi peuvent-elles bien parler tout le temps ces gonzesses ? », « en gloussant en plus… ». On pardonnera la forme agacée de cette interrogation dictée, on s’en doute, par votre frustration de ne pouvoir aisément vous transformer en rat pour espionner les souris. Mais parce que chez Daddy Coool, la générosité est une seconde nature, vous allez avoir droit, en plus de tous nos bons plans, à un accès VIP à leur balcon secret, leur dark side of the moon, bref leurs petites cachotteries et constater que, dans 80% des cas, la réponse à votre question « de quoi parlent elles ? » est : de VOUS, bien sûr, Messieurs ! Alors, prêts à aller faire un tour sous les jupes des filles ? Chaussez vos lunettes, et inutile de guetter le coup de vent favorable…       Laurence : Fête du shorty ouverte dans 2 jours ! Je compte les heures… et mes poils…Nath’ : Tu pars faire un stage de planche à voile ? Laurence : Nath ! Le shorty, version dentelles pas néoprène ! Ma fille part chez son père pour 2 semaines : alors, à moi, afterworks, apéritivo, et bal des pompiers… Du sport effectivement, mais des galipettes sans justaucorps ! Laurence : Avec cette chaleur, tous ces hommes en chemises négligemment ouvertes, ça me rend folle ! Béa : Tous ces hommes en sandalettes, tu veux dire ! L’été, c’est quand même pas le paradis de l’élégance. Auréoles de sueur, odeurs soit disant « viriles, » mains moites, fronts luisants, pieds et poils de sortie, moi, ça ne m’excite pas des masses. Vous avez toutes casé la progéniture ? Nath’ : 1 semaine de séjours sportifs + 1 semaine chez Mamy + 1 semaine chez Tata = 3 semaines de coïts pour bibi ! Avec Fred, on va redécouvrir que la baignoire sert à autre chose qu’à faire flotter des canards en plastique, le canapé, qu’à faire du trampoline, quoique…, et le lit qu’à ronfler avec des boules Quies. Béa : Et la TV, qu’à diffuser du Disney Jr… Au programme chez nous, l’intégrale de James Bond, sans 10 interruptions « Pipi, soif, câlin, confiscation d’iPad » dans la soirée. Et chéri sur le gâteau, le Hotto Pussy, et le fameux Goldmember pour pimenter le samedi soir. Nath’ : Jamais vu… Laurence : Founeraker ? Nath’ : Non plus… Béa : JP préfère Hotto Pussy ! Normal, dans GoldMember, la part belle est donnée à…, au Membre… comme le titre l’indique. Nath’ : T’es sûre de ça ? Membre, ça se dit Member ? Je ne suis pas prof d’anglais, mais ça sent le faux ami ! Béa : Tu sais Nath’, dans le porno, on mégotte pas avec les traductions. En l’occurrence, ce GoldMember là, en or ou en toute autre matière qu’il soit, t’as très envie de t’en faire un VRAI ami, crois moi… Prune : Je vois, même planning pour toutes : Summer Camp Cul… Pour moi aussi, 10 jours sans mon petit Jules, mais 10 jours 100% Jules, modèle « j’enfile tout seul mes chaussures et le reste ». Va juste falloir que j’évite le piège du faux célibataire, en réalité abandonné par Femme et Enfants partis tenter de bronzer à la Baule. Béa : Et oui, dès que les enfants sont partis, on n’est plus Papa et Maman, on redevient… calliente comme Monica et Vincent ! Laurence : Torrides comme Ryan et Eva… Nath’ : Libres comme Fred et Nath’ de la promo Danone… Prune : Je sens déjà que ça va être beaucoup trop court… Je partais toujours 3 semaines à Brighton. Les filles, quand je pense que nos parents se débarrassaient de nous l’été pour forni…. Oh, franchement, ça me dégoute !   Daddy Coool by Claire D. ... Lire la suite
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Vous le saviez tous avant de devenir papa : avoir des enfants, c'est faire passer la vie d'un(e) autre avant la sienne. Ce que vous ne saviez pas, c'est que cet autre, c'est votre femme. Au moins le temps de la grossesse. Tout débute, quand l'annonce est officielle. Vous avez fait ça dans l'ordre : parents, amis, collègues et statut Facebook. Bref, aujourd'hui, tout le monde sait que vous allez être papa. Mais pour le moment, vous n'êtes pas un futur papa. Non. Vous êtes le compagnon de la future maman. Où que vous alliez, la phrase que vous entendez en premier est : « comment va ta femme ? », suivi bien sûr de « vous connaissez le sexe ? ». Que vous soyez angoissé, excité, fatigué, voire malade ou mourant, tout le monde s'en fout. Ce qui compte, c'est votre femme. «  Elle a des nausées ? Elle mange bien ? Elle fait de l'acné, rétention d'eau, flatulences, pertes blanches, vergetures, constipation... » Voilà comment commencent invariablement vos journées. Et dire qu'on vous trouvait vulgaire avec un jeu de mot graveleux hebdomadaire. Mais on schématise. Il ne s'agit là que de vos connaissances féminines, trop heureuses de trouver dans la gente masculine un ami qui comprenne ce qu'elles ont traversé. Pourtant, les mecs aussi ne vous parlent que de votre femme. Mais eux, les deux seules choses qui les intéressent, c'est de savoir combien de taille de bonnet elle a pris et si sa libido est devenue folle. Certains pourraient trouver cette situation injuste. Et ils auraient raison. Quelle injustice pour les femmes. Centre du monde pendant neuf mois, elles voient tout l'intérêt disparaître en une seconde dès qu'elles expulsent le petit être. Et alors, la seule chose qu'elles entendront (et vous aussi) c'est «  comment va le (la) petit(e) ?  ». S'ensuit un énorme baby blues, trouble identitaire, perte de confiance, sentiment de vide, perception de sa vacuité, jalousie, grand huit hormonal. Mais vous, serein, vous êtes expert en la matière depuis neuf mois. Un jour, juste pour rire, essayez. Quand une amie est enceinte, demandez-lui chaque matin : « Salut, comment va ton mec ? ». ... Lire la suite
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