DADDY COOOL > Newsletter > Le Daddy du mois Édouard Cissé
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Chaque mois, Daddy Coool rédige une newsletter un peu particulière : le Daddy du mois. Focus sur un père, pas tout à fait comme les autres, mais pas moins papa comme vous !
Cette semaine rencontre avec Édouard Cissé.
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Daddy Coool : Combien avez-vous d’enfants et quel âge ont-ils ? Édouard Cissé : J’ai trois enfants, deux filles de 11 et 7 ans et le petit dernier a 2 ans. DC : Le week-end, quelles sont les activités que vous faites avec vos enfants ? EC : Jusqu’il y a peu, je ne pouvais pas faire grand chose : j’étais en activité, et le football me prenait beaucoup de temps. L’année dernière, j’étais consultant à BeIn, donc ce n’était pas évident non plus pour les weekends. Et c’est pour cette raison que cette année je suis un peu plus en « stand-by ». Le samedi matin, on fait les devoirs. Quant au samedi après-midi, on se balade, on rencontre des amis qui ont des enfants aussi. Dans le 78, on va à la ferme de Gally, au château de Versailles, faire du vélo… |
morphotypes. Mais s’il veut faire du rugby, tout me va, du moment qu’il fait du sport. DC : Avez-vous pris votre retraite footballistique pour vous consacrer pleinement à votre vie de famille ? EC : J’ai arrêté, tout d’abord à cause de l’âge, et puis surtout j’avais envie de profiter de mon petit gars – chose que je n’ai pas eu le sentiment d’avoir fait avec les deux premières parce que j’étais en pleine activité. C’est un métier de passion mais un métier qui est prenant, et à 34 ans j’avais besoin de faire un break. DC : Vos enfants vous ont ils suivi entre les villes ? Comment avez vous su leur expliquer le déménagement, le changement d’école ? EC : Oui, nous avons beaucoup bougé, et j’ai eu la chance de pouvoir avoir la possibilité de faire des choix quant aux villes, pour avoir une vie de famille agréable : Monaco, Marseille, Istanbul… des villes cosmopolites et agréables. Mes filles ont bien compris qu’il fallait déménager pour le travail de Papa, et maintenant avec les nouvelles technologies elles peuvent garder un lien constant avec leurs amis. Ma fille aîné reste en contact via Skype avec l’un de ses amis parti en Australie – alors qu’à mon âge, je me souviens avoir perdu de vue un ami parti à Lille. Il y a tout de même de nombreux points positifs avec les nouvelles technologies. DC : Vous faites parti de la génération « PlayStation », les jeux vidéos ont-ils un rôle prépondérant au sein de votre famille ? EC : Moi je n’ai jamais été un « gamer » de dingue, je ne le faisais que pendant la mise au vert ou pour socialiser. J’ai eu justement une expérience en Turquie où l’on était à dix dans une chambre à jouer… En fin de compte les jeux vidéos ont remplacé la belotte d’antan ! Je pense que tout objet utilisé à bon escient peut être intéressant. Mais comme j’ai deux filles, je ne peux pas jouer à Fifa avec elles. Mes filles ont une Wii, mais elles préfèrent faire du vélo, ou discuter sur Skype avec leurs copines à la limite… Elles sont raisonnables, donc on leur donne de la liberté mais elles n’en abusent pas pour autant. DC : Pour finir, quel serait votre meilleur conseil de papa à donner à tous les Daddy Coool qui nous lisent ? EC : Les conseils je ne sais pas, car j’en apprends tous les jours : ce sont mes enfants qui me donnent les meilleurs réponses. Par exemple, mon aînée m’a dit la semaine de la rentrée : « mais Papa, pourquoi m’accompagnes-tu en voiture à l’école ? Ca sert à quoi d’habiter si proche de l’école dans ce cas ? ». Alors que moi, j’aurais continué à l’accompagner chaque jour jusqu’en Troisième… Je pense qu’il faut encadrer les enfants, mais leur laisser faire leurs propres erreurs : qu’ils aient l’impression d’être libres, tout en étant derrière eux. Daddy Coool |
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